Ballade avec Courteline

Ballade avec Courteline

Textes de Georges Courteline

Création 2011


Avec :


Jacqueline Ibos

Nicole Dreyfus

Bernard Lemonnier

Bertrand L’Herminier

 

Mise en scène : Fanny Brisson

 

 

Présentation des tableaux

La Voiture versée: Un accident de voiture ! Un jeune homme porte secours à une Dame. Il succombe à son charme. Elle accepte qu’il la raccompagne à son appartement.
Certain de sa galante victoire, le jeune homme change de visage à la vue du Mari. Il est tombé dans un guet-apens : c’est le chantage au flagrant délit

 

 

L’Honneur des Brossarbourg : La baronne a une révélation délicate à faire à son époux : un homme l’a surprise pendant sa toilette et lui a « tapoté le derrière ». Soucieuse et vindicative, la baronne a usé de tous ses charmes pour trouver le coupable. Elle a mené dans son lit chacun des six suspects et caché un poignard sous son traversin pour obtenir leurs aveux. Le baron furieux lui apprend finalement que la plaisanterie venait de lui. 

 



La Peur des coups : Un couple rentre au petit jour d'une soirée. Monsieur en profite pour faire sa scène de jalousie habituelle, réglée comme un protocole puisqu'elle se reproduit après chaque soirée. Devançant les injures, Madame termine les phrases de son mari qu'elle connait par coeur. 

 

Les Boulingrins : Un jeune homme débarque chez un couple en pensant profiter de leur gentillesse pour se faire offrir le gîte et le couvert pendant l'hiver. Il ne se rend pas compte que les Boulingrin vont s'amuser avec lui comme un chat joue d'une pelote de laine.

 

Le Droit aux Etrennes : Un homme soucieux de son argent compte les étrennes distribuées et reçues. Apparait Louison, son  ancienne maîtresse, à l'allure peu féminine. Nous sommes immédiatement placés dans une situation où le malaise devient drôle

 

Le Madère : le madère, quel madère ? un petit verre peut permettre de voir la vie comme une jeu... jusqu'au moment où le masque tombe...

 

 

Georges Courteline : Né à Tours le 25 juin 1858, Georges Courteline de son vrai nom Georges Victor Marcel Moineaux, vit à Paris. Après des débuts difficiles, il donne libre court à sa verve satirique et s'amuse à traquer l'idiotie. La fonction publique, pour laquelle il travaille en tant qu'employé, est l’une de ses cibles. Pour sa création impressionnante, il reçoit la légion d' honneur en 1899 et est admis à l'Académie Goncourt.

 




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